X

La mobilité interne, parent pauvre de l'IT ?

August 24, 2022
LECTURE : 3 MIN
Articles

Selon un rapport Microsoft, 41% de la main-d'œuvre mondiale est susceptible d'envisager de quitter son employeur actuel au cours de la prochaine année. Les cartes sont rebattues et cela coûte cher aux entreprises, financièrement et en perte de productivité. Lorsque l’on s’intéresse aux raisons de ces départs, l’une des principales est le manque de visibilité sur des évolutions internes. 

Si les entreprises agissent pour améliorer la mobilité interne (autrement dit favoriser les changements de postes au sein de l’entreprise lorsqu’elles ont les moyens de proposer des plans de carrière), elles peuvent endiguer le phénomène d’attrition des employés en permettant aux salariés de se projeter sur le long terme. 

Les enjeux de la DSI

En mettant en œuvre une stratégie adaptée, les DSI peuvent préparer leur entreprise à absorber les changements de poste en masse, tout en gagnant en productivité. ‍

Cela passe par une gestion efficace et centralisée des entrées-sorties et mouvements de personnels. Contrôler tout l’éventail des ressources attribuées aux employés, tant logicielles que matérielles.

La mobilité interne combine les enjeux de l’onboarding et l’offboarding. Pour l’IT il s’agit de : 

  • couper les accès obsolètes et récupérer le matériel qui ne sera plus utilisé au bon moment pour économiser les budgets IT tout en assurant une productivité de l’employé.
  • provisionner l’employé avec les bons accès et le bon matériel à son changement de poste, pour une meilleure intégration dans sa nouvelle équipe et, par conséquent, une rétention renforcée.

Quelles mesures appliquer pour contrôler de façon efficace et centralisée l’éventail des ressources ? 

Les départements étaient autrefois capables de contrôler les outils utilisés au sein de l’entreprise avec uniquement l’Active Directory. Désormais il faut combiner l'A.D à des outils ITSM comme Matrix42 ou Service Now, une solution de gestion des accès comme Okta, un MDM comme GLPI pour tout le parc informatique. De plus, l’explosion du nombre d’applications utilisées en entreprise a divisé la gestion des accès entre les métiers, les services généraux et l’IT.  La gestion s’en retrouve encore une fois décentralisée. C’est une perte de contrôle et de visibilité pour la DSI.

Il existe des solutions comme Pyla qui permettent de centraliser l’ensemble des ressources utilisées. Elles sont le nœud central de ce réseau en étoile. Tant pour l’IT afin d’avoir un référentiel au dessus des solutions propres à chaque type de ressources (AD, MDM), que pour les métiers & services généraux pour donner à la DSI une visibilité globale sur les ressources de l’entreprise.

D’une part, le matériel et les applications y sont tous renseignés avec la répartition par profils employés. 

D’autre part, les échanges avec les équipes RH et métiers sont centralisés. Ce sont les RH ou les métiers qui déclenchent les mouvements au sein de l’application, ou via le SIRH synchronisé. Ensuite, l’IT reçoit la liste des demandes pour les ressources à retirer et à attribuer, avec les dates butoires associées. Enfin, les métiers peuvent suivre l’avancée du [de]provisioning via le logiciel. La coordination est assurée.

Investir dans la mobilité interne [ou « mobilité verticale »] permet à l’entreprise de conserver les connaissances et l’expertise de ses employés tout en les redéployant dans une autre fonction ou site. Elle renforce le sentiment d’appartenance des collaborateurs afin qu’ils s’inscrivent dans le projet d’entreprise sur la durée. 

Dans cette mobilité, L’IT est un acteur clé pour la bonne coordination des différents départements de l’entreprise et assurer ainsi une gestion optimale des ressources mises à disposition des collaborateurs. C’est le garant du bon déroulé de l’opération.

bandeau-ebook-offboarding-it-des-collaborateurs

Recevez les bonnes pratiques de notre communauté de DSI

Merci ! Nous avons bien enregistré votre email
Une erreur est survenue ! Veuillez recommencer s'il vous plait.

Derniers articles

Toutes les préoccupations IT décortiquées ici.

Prêt à vous lancer ?

Automatisez la gestion de vos ressources et améliorez l’expérience employé avec Pyla.

Demander une démo
X
logo_pyla_black

La mobilité interne, parent pauvre de l'IT ?

Téléchargement gratuit

Selon un rapport Microsoft, 41% de la main-d'œuvre mondiale est susceptible d'envisager de quitter son employeur actuel au cours de la prochaine année. Les cartes sont rebattues et cela coûte cher aux entreprises, financièrement et en perte de productivité. Lorsque l’on s’intéresse aux raisons de ces départs, l’une des principales est le manque de visibilité sur des évolutions internes. 

Si les entreprises agissent pour améliorer la mobilité interne (autrement dit favoriser les changements de postes au sein de l’entreprise lorsqu’elles ont les moyens de proposer des plans de carrière), elles peuvent endiguer le phénomène d’attrition des employés en permettant aux salariés de se projeter sur le long terme. 

Les enjeux de la DSI

En mettant en œuvre une stratégie adaptée, les DSI peuvent préparer leur entreprise à absorber les changements de poste en masse, tout en gagnant en productivité. ‍

Cela passe par une gestion efficace et centralisée des entrées-sorties et mouvements de personnels. Contrôler tout l’éventail des ressources attribuées aux employés, tant logicielles que matérielles.

La mobilité interne combine les enjeux de l’onboarding et l’offboarding. Pour l’IT il s’agit de : 

  • couper les accès obsolètes et récupérer le matériel qui ne sera plus utilisé au bon moment pour économiser les budgets IT tout en assurant une productivité de l’employé.
  • provisionner l’employé avec les bons accès et le bon matériel à son changement de poste, pour une meilleure intégration dans sa nouvelle équipe et, par conséquent, une rétention renforcée.

Quelles mesures appliquer pour contrôler de façon efficace et centralisée l’éventail des ressources ? 

Les départements étaient autrefois capables de contrôler les outils utilisés au sein de l’entreprise avec uniquement l’Active Directory. Désormais il faut combiner l'A.D à des outils ITSM comme Matrix42 ou Service Now, une solution de gestion des accès comme Okta, un MDM comme GLPI pour tout le parc informatique. De plus, l’explosion du nombre d’applications utilisées en entreprise a divisé la gestion des accès entre les métiers, les services généraux et l’IT.  La gestion s’en retrouve encore une fois décentralisée. C’est une perte de contrôle et de visibilité pour la DSI.

Il existe des solutions comme Pyla qui permettent de centraliser l’ensemble des ressources utilisées. Elles sont le nœud central de ce réseau en étoile. Tant pour l’IT afin d’avoir un référentiel au dessus des solutions propres à chaque type de ressources (AD, MDM), que pour les métiers & services généraux pour donner à la DSI une visibilité globale sur les ressources de l’entreprise.

D’une part, le matériel et les applications y sont tous renseignés avec la répartition par profils employés. 

D’autre part, les échanges avec les équipes RH et métiers sont centralisés. Ce sont les RH ou les métiers qui déclenchent les mouvements au sein de l’application, ou via le SIRH synchronisé. Ensuite, l’IT reçoit la liste des demandes pour les ressources à retirer et à attribuer, avec les dates butoires associées. Enfin, les métiers peuvent suivre l’avancée du [de]provisioning via le logiciel. La coordination est assurée.

Investir dans la mobilité interne [ou « mobilité verticale »] permet à l’entreprise de conserver les connaissances et l’expertise de ses employés tout en les redéployant dans une autre fonction ou site. Elle renforce le sentiment d’appartenance des collaborateurs afin qu’ils s’inscrivent dans le projet d’entreprise sur la durée. 

Dans cette mobilité, L’IT est un acteur clé pour la bonne coordination des différents départements de l’entreprise et assurer ainsi une gestion optimale des ressources mises à disposition des collaborateurs. C’est le garant du bon déroulé de l’opération.

La mobilité interne, parent pauvre de l'IT ?

Ils nous font confiance

logo ibanfirst noirlogo takarabio noirlogo visable noirlogo shippeo noirlogo ctn noirlogo groupe henriot noirlogo GRF noitlogo kercia noirlogo cathay capital noir
logo_pyla_black

La mobilité interne, parent pauvre de l'IT ?

Téléchargement gratuit

Selon un rapport Microsoft, 41% de la main-d'œuvre mondiale est susceptible d'envisager de quitter son employeur actuel au cours de la prochaine année. Les cartes sont rebattues et cela coûte cher aux entreprises, financièrement et en perte de productivité. Lorsque l’on s’intéresse aux raisons de ces départs, l’une des principales est le manque de visibilité sur des évolutions internes. 

Si les entreprises agissent pour améliorer la mobilité interne (autrement dit favoriser les changements de postes au sein de l’entreprise lorsqu’elles ont les moyens de proposer des plans de carrière), elles peuvent endiguer le phénomène d’attrition des employés en permettant aux salariés de se projeter sur le long terme. 

Les enjeux de la DSI

En mettant en œuvre une stratégie adaptée, les DSI peuvent préparer leur entreprise à absorber les changements de poste en masse, tout en gagnant en productivité. ‍

Cela passe par une gestion efficace et centralisée des entrées-sorties et mouvements de personnels. Contrôler tout l’éventail des ressources attribuées aux employés, tant logicielles que matérielles.

La mobilité interne combine les enjeux de l’onboarding et l’offboarding. Pour l’IT il s’agit de : 

  • couper les accès obsolètes et récupérer le matériel qui ne sera plus utilisé au bon moment pour économiser les budgets IT tout en assurant une productivité de l’employé.
  • provisionner l’employé avec les bons accès et le bon matériel à son changement de poste, pour une meilleure intégration dans sa nouvelle équipe et, par conséquent, une rétention renforcée.

Quelles mesures appliquer pour contrôler de façon efficace et centralisée l’éventail des ressources ? 

Les départements étaient autrefois capables de contrôler les outils utilisés au sein de l’entreprise avec uniquement l’Active Directory. Désormais il faut combiner l'A.D à des outils ITSM comme Matrix42 ou Service Now, une solution de gestion des accès comme Okta, un MDM comme GLPI pour tout le parc informatique. De plus, l’explosion du nombre d’applications utilisées en entreprise a divisé la gestion des accès entre les métiers, les services généraux et l’IT.  La gestion s’en retrouve encore une fois décentralisée. C’est une perte de contrôle et de visibilité pour la DSI.

Il existe des solutions comme Pyla qui permettent de centraliser l’ensemble des ressources utilisées. Elles sont le nœud central de ce réseau en étoile. Tant pour l’IT afin d’avoir un référentiel au dessus des solutions propres à chaque type de ressources (AD, MDM), que pour les métiers & services généraux pour donner à la DSI une visibilité globale sur les ressources de l’entreprise.

D’une part, le matériel et les applications y sont tous renseignés avec la répartition par profils employés. 

D’autre part, les échanges avec les équipes RH et métiers sont centralisés. Ce sont les RH ou les métiers qui déclenchent les mouvements au sein de l’application, ou via le SIRH synchronisé. Ensuite, l’IT reçoit la liste des demandes pour les ressources à retirer et à attribuer, avec les dates butoires associées. Enfin, les métiers peuvent suivre l’avancée du [de]provisioning via le logiciel. La coordination est assurée.

Investir dans la mobilité interne [ou « mobilité verticale »] permet à l’entreprise de conserver les connaissances et l’expertise de ses employés tout en les redéployant dans une autre fonction ou site. Elle renforce le sentiment d’appartenance des collaborateurs afin qu’ils s’inscrivent dans le projet d’entreprise sur la durée. 

Dans cette mobilité, L’IT est un acteur clé pour la bonne coordination des différents départements de l’entreprise et assurer ainsi une gestion optimale des ressources mises à disposition des collaborateurs. C’est le garant du bon déroulé de l’opération.

Ils nous font confiance

ibanfirsttakaravisableshippeoCTNhenriotGroupe Revue Fiduciairekerciacathay