La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) s’applique aussi aux ressources IT. Or par la transformation digitale, les DSI font face à une accumulation de licences de logiciels et d’achat de matériel qui entraînent des conséquences directes sur l’environnement et l’impact écologique négatif de l’entreprise. Dans ce cas, comment les DSI peuvent-elles jouer un rôle dans une démarche RSE et de Green IT globale et être un pilier dans la gestion des ressources ?
Lorsqu’une entreprise débute une démarche RSE, l’ensemble de ses services et de leur impact est concerné. Regardons ce qu’implique la RSE au sens large et comment elle opère au sein de la DSI.
La Responsabilité Sociétale des Entreprises est une démarche visant à calculer puis à diminuer l’impact négatif d’une entreprise sur le plan environnemental, social et financier. Son pendant est bien sûr d’augmenter son impact positif dans ces différents domaines. Autrement dit, il s’agit pour elle de s’engager pleinement dans le développement durable.
Si les entreprises n’ont pas d’objectifs chiffrés, depuis 2020 et la loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises), elles doivent prendre en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de [leur] activité » (Article 1833 du Code civil).
En revanche, les entreprises qui ont plus de 500 collaborateurs ou un chiffre d’affaires dépassant les 100 millions d’euros doivent obligatoirement réaliser un reporting de leur démarche. Ce qui n’empêche pas les plus petites organisations à en produire un également pour montrer leur investissement dans ce domaine et améliorer concrètement leur fonctionnement.
Pour cela, les entreprises qui s’engagent sont invitées à suivre les recommandations et les lignes directrices de la norme internationale ISO 26000. Comme pour toutes les normes ISO, elle n’est pas obligatoire, mais elle permet de lancer sa démarche RSE étape par étape.
La RSE touche directement la DSI et son rôle peut devenir un levier pour une utilisation raisonnée des logiciels et des matériels et une approche visant la traçabilité digitale. Et cela, que ce soit dans les outils métier du quotidien tels que le Cloud ou la conception même de ces solutions : les logiciels SaaS, la 5G, les produits IA, l’IoT.
Dans la gestion des ressources informatiques, la DSI est aux premières loges pour donner des axes d’amélioration et proposer une vision green IT dans le choix des logiciels ainsi que des terminaux (ordinateurs, smartphones, tablettes et autres appareils informatiques).
Selon les chercheurs de l’Université de Lancaster, au niveau mondial, les outils TIC génèrent de 2.1 à 3.9 % des émissions totales de CO2 dans l’atmosphère. Des taux qui ont augmenté au fil du temps, alors que la digitalisation a investi tous les secteurs. Si bien que l’utilisation des licences de logiciels ne cesse d’augmenter.
De surcroît, les outils informatiques ont eux-mêmes un impact négatif alors que leur fabrication nécessite de l’énergie et des matériaux, à commencer par les minerais, dont l’extraction est pour le moins incompatible avec les principes RSE. A cela s’ajoute la difficulté de les recycler.
Autre conséquence, l’usage des TIC génère aussi des problématiques sur la quantité d’informations à traiter par les collaborateurs et l’amoindrissement de la frontière entre vie personnelle et vie professionnelle. L’humain est donc directement concerné par les enjeux RSE et de green IT. La sobriété numérique s’impose alors comme un axe majeur.
Le DSI joue aussi un rôle fondamental dans une maîtrise raisonnée des usages et des choix TIC. D’où l’importance de faire passer le message au sein des équipes pour une politique RSE cohérente aussi dans ce domaine.
Trois sujets lui incombent particulièrement :
Si bien que, dans le cas où la démarche RSE est dirigée par un service en particulier, il convient de lui indiquer l’importance d’une représentation de la DSI dans sa politique pour une cohérence à tous les niveaux. Et cela, parce que la gestion IT est directement liée à la stratégie de l’entreprise et à l’aspect transversal de la numérisation, à la fois comme outil de travail « du quotidien » et comme outil de développement et de conception.
En cela, les DSI peuvent mettre en place des actions concrètes en lien avec la direction :
Plus largement, il s’agit de mettre en place une politique d’achat responsable des outils TIC avec des choix de fournisseurs qui agissent en ce sens. Il s’agit là d’un levier important pour changer véritablement les choses.
Face à la puissance du numérique et à la nécessité d’une transformation digitale optimisée, les DSI doivent pouvoir appuyer un bon usage des logiciels et des matériels auprès des équipes. Pour cela, le logiciel de gestion de ressources intègre à la racine les principes RSE de l’IT. Avoir un mapping de ce dont chaque collaborateur est équipé est essentiel. Déclencher les bonnes demandes d’équipement à chaque arrivée, et couper tous les accès au départ d’un employé, c’est une participation active dans la réduction de l’empreinte carbone de l’entreprise.
Ces bonnes pratiques doivent apparaître concrètement dans une documentation interne afin d’en montrer le caractère essentiel. Mais ce n’est pas suffisant. La DSI et ses recommandations doivent aussi faire partie de la démarche RSE et ne pas être mises sur le banc de touche comme un axe additionnel. Pour y parvenir, le soutien de la direction est fondamental.
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La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) s’applique aussi aux ressources IT. Or par la transformation digitale, les DSI font face à une accumulation de licences de logiciels et d’achat de matériel qui entraînent des conséquences directes sur l’environnement et l’impact écologique négatif de l’entreprise. Dans ce cas, comment les DSI peuvent-elles jouer un rôle dans une démarche RSE et de Green IT globale et être un pilier dans la gestion des ressources ?
Lorsqu’une entreprise débute une démarche RSE, l’ensemble de ses services et de leur impact est concerné. Regardons ce qu’implique la RSE au sens large et comment elle opère au sein de la DSI.
La Responsabilité Sociétale des Entreprises est une démarche visant à calculer puis à diminuer l’impact négatif d’une entreprise sur le plan environnemental, social et financier. Son pendant est bien sûr d’augmenter son impact positif dans ces différents domaines. Autrement dit, il s’agit pour elle de s’engager pleinement dans le développement durable.
Si les entreprises n’ont pas d’objectifs chiffrés, depuis 2020 et la loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises), elles doivent prendre en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de [leur] activité » (Article 1833 du Code civil).
En revanche, les entreprises qui ont plus de 500 collaborateurs ou un chiffre d’affaires dépassant les 100 millions d’euros doivent obligatoirement réaliser un reporting de leur démarche. Ce qui n’empêche pas les plus petites organisations à en produire un également pour montrer leur investissement dans ce domaine et améliorer concrètement leur fonctionnement.
Pour cela, les entreprises qui s’engagent sont invitées à suivre les recommandations et les lignes directrices de la norme internationale ISO 26000. Comme pour toutes les normes ISO, elle n’est pas obligatoire, mais elle permet de lancer sa démarche RSE étape par étape.
La RSE touche directement la DSI et son rôle peut devenir un levier pour une utilisation raisonnée des logiciels et des matériels et une approche visant la traçabilité digitale. Et cela, que ce soit dans les outils métier du quotidien tels que le Cloud ou la conception même de ces solutions : les logiciels SaaS, la 5G, les produits IA, l’IoT.
Dans la gestion des ressources informatiques, la DSI est aux premières loges pour donner des axes d’amélioration et proposer une vision green IT dans le choix des logiciels ainsi que des terminaux (ordinateurs, smartphones, tablettes et autres appareils informatiques).
Selon les chercheurs de l’Université de Lancaster, au niveau mondial, les outils TIC génèrent de 2.1 à 3.9 % des émissions totales de CO2 dans l’atmosphère. Des taux qui ont augmenté au fil du temps, alors que la digitalisation a investi tous les secteurs. Si bien que l’utilisation des licences de logiciels ne cesse d’augmenter.
De surcroît, les outils informatiques ont eux-mêmes un impact négatif alors que leur fabrication nécessite de l’énergie et des matériaux, à commencer par les minerais, dont l’extraction est pour le moins incompatible avec les principes RSE. A cela s’ajoute la difficulté de les recycler.
Autre conséquence, l’usage des TIC génère aussi des problématiques sur la quantité d’informations à traiter par les collaborateurs et l’amoindrissement de la frontière entre vie personnelle et vie professionnelle. L’humain est donc directement concerné par les enjeux RSE et de green IT. La sobriété numérique s’impose alors comme un axe majeur.
Le DSI joue aussi un rôle fondamental dans une maîtrise raisonnée des usages et des choix TIC. D’où l’importance de faire passer le message au sein des équipes pour une politique RSE cohérente aussi dans ce domaine.
Trois sujets lui incombent particulièrement :
Si bien que, dans le cas où la démarche RSE est dirigée par un service en particulier, il convient de lui indiquer l’importance d’une représentation de la DSI dans sa politique pour une cohérence à tous les niveaux. Et cela, parce que la gestion IT est directement liée à la stratégie de l’entreprise et à l’aspect transversal de la numérisation, à la fois comme outil de travail « du quotidien » et comme outil de développement et de conception.
En cela, les DSI peuvent mettre en place des actions concrètes en lien avec la direction :
Plus largement, il s’agit de mettre en place une politique d’achat responsable des outils TIC avec des choix de fournisseurs qui agissent en ce sens. Il s’agit là d’un levier important pour changer véritablement les choses.
Face à la puissance du numérique et à la nécessité d’une transformation digitale optimisée, les DSI doivent pouvoir appuyer un bon usage des logiciels et des matériels auprès des équipes. Pour cela, le logiciel de gestion de ressources intègre à la racine les principes RSE de l’IT. Avoir un mapping de ce dont chaque collaborateur est équipé est essentiel. Déclencher les bonnes demandes d’équipement à chaque arrivée, et couper tous les accès au départ d’un employé, c’est une participation active dans la réduction de l’empreinte carbone de l’entreprise.
Ces bonnes pratiques doivent apparaître concrètement dans une documentation interne afin d’en montrer le caractère essentiel. Mais ce n’est pas suffisant. La DSI et ses recommandations doivent aussi faire partie de la démarche RSE et ne pas être mises sur le banc de touche comme un axe additionnel. Pour y parvenir, le soutien de la direction est fondamental.
La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) s’applique aussi aux ressources IT. Or par la transformation digitale, les DSI font face à une accumulation de licences de logiciels et d’achat de matériel qui entraînent des conséquences directes sur l’environnement et l’impact écologique négatif de l’entreprise. Dans ce cas, comment les DSI peuvent-elles jouer un rôle dans une démarche RSE et de Green IT globale et être un pilier dans la gestion des ressources ?
Lorsqu’une entreprise débute une démarche RSE, l’ensemble de ses services et de leur impact est concerné. Regardons ce qu’implique la RSE au sens large et comment elle opère au sein de la DSI.
La Responsabilité Sociétale des Entreprises est une démarche visant à calculer puis à diminuer l’impact négatif d’une entreprise sur le plan environnemental, social et financier. Son pendant est bien sûr d’augmenter son impact positif dans ces différents domaines. Autrement dit, il s’agit pour elle de s’engager pleinement dans le développement durable.
Si les entreprises n’ont pas d’objectifs chiffrés, depuis 2020 et la loi PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises), elles doivent prendre en « considération des enjeux sociétaux et environnementaux de [leur] activité » (Article 1833 du Code civil).
En revanche, les entreprises qui ont plus de 500 collaborateurs ou un chiffre d’affaires dépassant les 100 millions d’euros doivent obligatoirement réaliser un reporting de leur démarche. Ce qui n’empêche pas les plus petites organisations à en produire un également pour montrer leur investissement dans ce domaine et améliorer concrètement leur fonctionnement.
Pour cela, les entreprises qui s’engagent sont invitées à suivre les recommandations et les lignes directrices de la norme internationale ISO 26000. Comme pour toutes les normes ISO, elle n’est pas obligatoire, mais elle permet de lancer sa démarche RSE étape par étape.
La RSE touche directement la DSI et son rôle peut devenir un levier pour une utilisation raisonnée des logiciels et des matériels et une approche visant la traçabilité digitale. Et cela, que ce soit dans les outils métier du quotidien tels que le Cloud ou la conception même de ces solutions : les logiciels SaaS, la 5G, les produits IA, l’IoT.
Dans la gestion des ressources informatiques, la DSI est aux premières loges pour donner des axes d’amélioration et proposer une vision green IT dans le choix des logiciels ainsi que des terminaux (ordinateurs, smartphones, tablettes et autres appareils informatiques).
Selon les chercheurs de l’Université de Lancaster, au niveau mondial, les outils TIC génèrent de 2.1 à 3.9 % des émissions totales de CO2 dans l’atmosphère. Des taux qui ont augmenté au fil du temps, alors que la digitalisation a investi tous les secteurs. Si bien que l’utilisation des licences de logiciels ne cesse d’augmenter.
De surcroît, les outils informatiques ont eux-mêmes un impact négatif alors que leur fabrication nécessite de l’énergie et des matériaux, à commencer par les minerais, dont l’extraction est pour le moins incompatible avec les principes RSE. A cela s’ajoute la difficulté de les recycler.
Autre conséquence, l’usage des TIC génère aussi des problématiques sur la quantité d’informations à traiter par les collaborateurs et l’amoindrissement de la frontière entre vie personnelle et vie professionnelle. L’humain est donc directement concerné par les enjeux RSE et de green IT. La sobriété numérique s’impose alors comme un axe majeur.
Le DSI joue aussi un rôle fondamental dans une maîtrise raisonnée des usages et des choix TIC. D’où l’importance de faire passer le message au sein des équipes pour une politique RSE cohérente aussi dans ce domaine.
Trois sujets lui incombent particulièrement :
Si bien que, dans le cas où la démarche RSE est dirigée par un service en particulier, il convient de lui indiquer l’importance d’une représentation de la DSI dans sa politique pour une cohérence à tous les niveaux. Et cela, parce que la gestion IT est directement liée à la stratégie de l’entreprise et à l’aspect transversal de la numérisation, à la fois comme outil de travail « du quotidien » et comme outil de développement et de conception.
En cela, les DSI peuvent mettre en place des actions concrètes en lien avec la direction :
Plus largement, il s’agit de mettre en place une politique d’achat responsable des outils TIC avec des choix de fournisseurs qui agissent en ce sens. Il s’agit là d’un levier important pour changer véritablement les choses.
Face à la puissance du numérique et à la nécessité d’une transformation digitale optimisée, les DSI doivent pouvoir appuyer un bon usage des logiciels et des matériels auprès des équipes. Pour cela, le logiciel de gestion de ressources intègre à la racine les principes RSE de l’IT. Avoir un mapping de ce dont chaque collaborateur est équipé est essentiel. Déclencher les bonnes demandes d’équipement à chaque arrivée, et couper tous les accès au départ d’un employé, c’est une participation active dans la réduction de l’empreinte carbone de l’entreprise.
Ces bonnes pratiques doivent apparaître concrètement dans une documentation interne afin d’en montrer le caractère essentiel. Mais ce n’est pas suffisant. La DSI et ses recommandations doivent aussi faire partie de la démarche RSE et ne pas être mises sur le banc de touche comme un axe additionnel. Pour y parvenir, le soutien de la direction est fondamental.